Kaboom
numéro 2
Samedi 22 juin 2013 sort en kiosques le deuxième numéro de la revue KABOOM, avec 26 pages supplémentaires et deux couvertures au choix.
Bon bon bon... Sans doute qu'en réalité, tout s'est passé le plus normalement du monde, mais c'est la façon dont j'ai vu la chose, passablement influencé par un fantasme romanesque du monde journalistique tout droit hérité de Balzac, de Maupassant et des Hommes du Président. Ce fantasme est d'ailleurs largement entretenu du fait que j'assiste à tout cela de loin, voire même de très loin puisque l'intrépide Stéphane Beaujean, rédacteur en chef de son état, est parti plusieurs semaines au Japon interviewer la fine fleur du manga moderne.
Ainsi, dans ce numéro, on trouvera entre autres des entretiens avec Shintaro Kago, Usamaru Furuya, Takashi Nemoto, Seiichi Hayashi, Yoshihiro Tatsumi, Takehiko Inoue, Robin Nishi, Atsushi Kaneko et Suehiro Maruo ...
Mais aussi Mezzo, Pirus, Anthony Pastor, Winshluss, Brian K. Vaughan....
Pour ma part, j'ai posé des questions, de loin, encore, sans le voir et sans lui parler, à Naoki Urasawa, me voyant ainsi confirmer quelques intuitions personnelles à propos de Billy Bat.
Et puis, j'ai rencontré en chair et en os Ted Benoit, le jour du vernissage de son exposition à la Galerie Champaka de Paris. On reviendra plus longuement sur cet événement d'ici quelques semaines, en révélant les questions et les réponses que Kaboom n'a pas pu publier.
Et puis, ces dernières semaines, il y a eu l'ineffable plaisir de voir les documents word des uns et des autres s'incarner dans une maquette splendide et lumineuse grâce au talent de Vincent Montagnana, et devenir enfin une véritable revue, tout d'encre et de papier. Celle-là même qu'on pourra tenir entre ses mains dès demain, dans toutes les maisons de la presse de France et de Belgique (on croise les doigts).
Alors oui, il n'y a peut-être pas d'épopée là-dedans, mais une magie indéniable.
Et puis, ces dernières semaines, il y a eu l'ineffable plaisir de voir les documents word des uns et des autres s'incarner dans une maquette splendide et lumineuse grâce au talent de Vincent Montagnana, et devenir enfin une véritable revue, tout d'encre et de papier. Celle-là même qu'on pourra tenir entre ses mains dès demain, dans toutes les maisons de la presse de France et de Belgique (on croise les doigts).
Alors oui, il n'y a peut-être pas d'épopée là-dedans, mais une magie indéniable.
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